Mais les deux témoins ne se sont pas présentés. Le procureur et l’avocat de la défense ont tous deux demandé au tribunal de tirer les conséquences de cette absence. Mais le juge a finalement décidé de renvoyer le procès au 29 novembre pour de nouvelles discussions.
Par ailleurs, pour établir un éventuel lien de paternité entre l’accusé et le bébé de la jeune fille violée, le tribunal a ordonné un test ADN. Une requête que les deux parties adverses avaient toutes deux déjà demandée.
Rappelons que dans cette affaire, El Hadj Amadou Barry est détenu depuis le 9 décembre 2021. Il est accusé d’avoir violé Djené Kaba, une jeune fille âgée à l’époque de 14 ans. L’acte se serait produit dans une mosquée du quartier Yimbaya, dans la commune de Matoto. L’accusé a rejeté ces accusations, avant de prétendre qu’il y avait un complot contre lui.